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mardi 22 janvier 2013

Verchain's Takes - Conference Championships.


VERCHAIN'S TAKES :
CONFERENCE CHAMPIONSHIPS

Eh bien nous y voilà... Vous tenez entre les mains, ou vous avez sous les yeux, le dernier numéro des Verchain's Takes de la saison.

Oui, vous avez bien lu.

Pourquoi ?

Parce que, dans quinze jours, mon Armaggeddon footballistique personnel se déroulera à la Nouvelle Orléans.

Le Harbowl.



J'ai donc le plaisir de vous annoncer que je ne regarderai pas le Super Bowl cette année. Je resterai couché. Parce que je ne peux pas veiller toute la nuit pour m'infliger ça.
Il y aura peut-être un article, ou peut-être pas, pour en parler. Pas grand chose sur le match, que je regarderai en rediffusion, d'une fesse distraite. En tout cas, je ne m'intéresserai pas au football professionnel dans les deux semaines qui viennent. Parce qu'on va bouffer du Harbaugh West et du Harbaugh East, et que mon petit estomac ne supportera pas ça. Alors, voici ma dernière livraison dans le format actuel. Et j'écris directement depuis mes toilettes, au cas où mon envie de dégueuler me reprenne, allez savoir...


Les dernières Takes, donc, les voici.

VERCHAIN'S TAKES


  • Ces playoffs auront été jusqu’à maintenant ceux des TE. Entre Tony Gonzalez chez les Falcons (1TD), Vernon Davis chez les Niners (1TD), ou encore Dennis Pitta chez les Ravens (1 TD), on a encore assisté à cet état de fait ce dimanche. Finalement, il n’y a que l’équipe au sein de laquelle les TE ont apporté énormément cette année qu’un receveur rapproché n’aura pas scoré ce weekend. Un Gronk, ça manque énormément…


  • Et puis, c’est la saison de San Francisco, avec la victoire des Giants dans les World Series de baseball, les 49ers qui vont tout droit au Super Bowl, et puis les fabuleux succès en NBA et en NHL… Pardon ? Ah, San Francisco n’a pas d’équipes dans ces disciplines ? Wait, personne n’avait remarqué ? Ah, oui, c’est vrai, tout le monde s’en fout, de la NBA et de la NHL…


  • Ces playoffs auront donc été également ceux de Joe Flacco. Et cette intersaison sera donc celle de son banquier, à n’en pas douter. Et envoyez le blabla sur le thème de Flacco, ce quarterback d’élite… STOP BULLSHITTING ME !!! Flacco, finalement, c’est un peu comme Eli Manning. Un bon petit quarterback, qui sort de temps à autre des performances totalement inattendues, et qui se torche tout aussi régulièrement, au moins en saison régulière, avec des matchs absolument atroces.


  • Les stats, et l’impression générale laissée par Flacco sur cette postseason n’en demeurent pas moins assez impressionnantes. Troisième match de suite sans interception, avec un rating une nouvelle fois supérieur à 100. Mais qui décline tout doucement depuis le match contre les Colts, tiens… Bah, la défense par la passe de Niners, en ce moment, c’est pas non plus la sécurité sociale… Mais le grand reproche que je fais à Flacco, c’est qu’il a ses moments, en fait, et qu’on a souvent un peu de mal à savoir quand ils vont arriver, ces ‘moments’… Là, il est sur une série royale… Faudrait juste pour les fans des Ravens (et il y en a…) que ça dure deux semaines de plus…


  • Au passage, je ne sais pas bien ce que fait Harbaugh East aux coaches adverses, mais il semble leur rentrer dans la tête pour les pousser à faire n’importe quoi… Après le drapeau blanc de John Fox à Denver la semaine passée, c’est cette fois Bill Bellichick qui nous l’a jouée chat échaudé, en envoyant des punts depuis le camp des Ravens alors que ses hommes étaient menés au score… Mmmh…


  • Oh, un autre garçon qui vient de gagner son gros chèque, c’est Aqib Talib. Le dernier pari en date de Bellichick a étouffé les receveurs des Ravens… Jusqu’à ce qu’il se blesse… Moment auquel Torrey Smith et Anquan Boldin se sont soudainement mis à attraper le ballon, et à inscrire des points… Coïncidence troublante, non ? Non.


  • Quand je vous parlais de la tournée d’adieux à la Aznavour de Ray Lewis, je ne croyais pas si bien dire. Interminables, les adieux de Ray Lewis. Avec une dernière date prévue pour dans 15 jours à la Nouvelle Orléans, pour une dernière représentation. On aura peut-être droit à ça, tenez…



  • Bernard Pollard, ce… Bon, OK, j’ai dit que j’arrêtais. Il n’est pas méchant, il joue straight tout le temps, ce type est une crème. Et moi, je viens de me faire Kate Upton. Trois fois.


  • Avantage Baltimore ? Les deux derniers vainqueurs du grand barnum de début février étaient des équipes issues des wild cards contre des équipes qui avaient bénéficié d’une bye week, non ?


  • Same old Falcons… Voilà deux semaines de suite que les hommes de Mike Smith se font remonter au score… Alors que j’étais prêt à m’émerveiller devant le fantastique début de match des joueurs en rouge contre ceux en blanc, vladadam, les voici qui nous refont le coup du oh, tiens, j’ai oublié qu’un match ne durait pas que 30 minutes. C’était passé contre les Seahoax, pas cette fois contre les Harboys (attendez vous à voir tous les mots du dictionnaire commencer maintenant par ‘Har-‘ avant la première syllabe, je vous préviens, l’Apocalypse est sur nous !!!). Un bel effondrement, une fois de plus…


  • Notamment en défense… Quelqu’un chez les Falcons s’est-il dit pendant la semaine qu’il serait peut-être bien de trouver un schéma qui contrarie le tight end d’en face ? Non ? Eh bien, ça s’est vu… Quelqu’un a prévenu Mike Nolan que si Zach Miller parvenait à faire des étincelles dans la secondary des Falcons, un Vernon Davis allait s’amuser comme un curé chez les boy scouts ?


  • Et bien évidemment avec le concours de Matty Melt, redevenu lui-même ! Matt Ryan. Une seule victoire en playoffs en carrière, alors que son co-drafté Joe Flacco en est à au moins une victoire à chaque participation… Voilà comment se font les légendes, comment les réputations légèrement usurpées naissent, et tout, et tout… Si j’avais à gérer une franchise, je pense que je prendrai Matt Ryan avant Joe Flacco, ne serait-ce que parce que je suis quasiment certain d’y aller tous les ans, en playoffs… Les playoffs, c’est à ce moment là que tout se barre en freestyle pour Ryan… Une nouvelle interception bien moche, et surtout ce magnifique épisode du fumble qui tue sur un snap, alors que les Falcons étaient à portée de field goal… Un vrai moment à la Benny Hill, les aguichantes greluches court-vêtues en moins (si vous voulez vraiment du respect, Atlanta, pensez à embaucher des cheerleaders qui valent le coup… Parce que bon…).


  • Et donc, un match de records de plus pour les Niners qui vont retrouver le Super Bowl, pour la première fois depuis 18 ans… Kate n’était qu’une petite fille, à l’époque… C’est bien la seule raison de penser que c’était pas mieux avant, finalement… Records, disais-je avant de digresser… Record de comeback pour San Fran, qui n’était jamais remonté de plus de 7 points… Record de comeback pour une finale de la NFC, 17 points de déficit effacés…


  • Et nous avons donc évité à la fois le Flaccoing et le Kaepernicking cette semaine. Frank Gore s’est occupé d’assurer le scoring, et le QB des Niners n’a que peu couru, bien que s’alignant un bon paquet de fois dans un set en pistol, feintant de lire la zone en laissant très souvent le ballon à son coureur, Gore ou le petit LaMichael James, qui n’a pas pas perdu sa vitesse en passant des esthétisants Ducks d’Oregon aux beaucoup moins esthétiques Niners de San Francisco (et je ne parle pas uniquement des tatouages immondes sur les bras de Colin K).

  • Ce HarBowl va donc être insupportable… Sur une petite –nouvelle – controverse d’arbitrage, on a encore eu droit à la scène de grand guignol du HarHarbaugh qui Hargueule… Mais que quelqu’un lui claque le beignet une bonne fois pour toutes, merde… Certes, il avait raison, pour une fois (le catch de Harry Douglas n’aurait jamais du être validé…), mais ce cirque permanent, c’est juste too much, c’est HarInsupportable pour mes petits nerfs. Allez, comme je suis maso à mort, voici le truc !



  • Ah, mais, tiens, on ne l’a pas vu gueuler sur l’interférence de passe qui aurait du être appelée contre Navorro Bowman sur Roddy White… Breaking News : Harbaugh ne passe pas sa vie à gueuler ? What ?


  • Eh bien voilà, saison merdique, qui aura un épilogue merdique… M’en vais de ce pas regarder mes vieilles VHS de Dan Marino, ça me remontera le moral…



Au moins, ça aura toujours plus de classe que ça...



Ou que ça...




CASA'S CORNER


Maybe. Maybe it will be published, someday...



NEXT WEEK (on TV) :

The ? Pro Bowl ? Couldn't care less...

AND THE WEEK AFTER THAT ?

HarBowl ? Oh.... Boy....


Bon, allez...





dimanche 20 janvier 2013

Verchain's Picks - Conference Championships


VERCHAIN'S PICKS : 
CONFERENCE CHAMPIONSHIPS

La semaine dernière, Casa et moi avons été ridicules, avec la seule victoire des Patriots comme prono correct. Ceci nous amène tout juste à 50% de bons pronos sur ces playoffs. C'est à pleurer. Comme un éventuel Superbowl sauce Harbaugh, non ?

Casa a quelques problèmes persos qui l'ont empêché de m'envoyer ses pronostics. Il y a des choses plus importantes que le football dans la vie. Be strong.

Niners at Falcons

The Odds  : 1,44/2,35

Verchain  :

Maintenant que le Dieu de la Lumière a été écarté de la route des playoffs par Harbaugh West, je vois mal ce qui pourrait empêcher Braillard Coach d'emmener ses troupes à la Nouvelle Orléans dans deux semaines. Puked in my mouth, bien entendu.

Comment Atlanta, qui a galéré toute la deuxième mi-temps la semaine passée pour contenir Russel Wilson, pourra-t-elle contenir Colin Kaepernick, qui court mieux que Wilson, lance aussi bien que lui, et a un tout autre physique ? Bonne question... Hé, le nom de Mike Nolan, le coordinateur défensif des Falcons, pourrait éventuellement revenir un de ces jours pour une ouverture en tant que head coach s'il parvenait à ralentir suffisamment l'attaque des Niners sur une surface qui donnera un bel avantage à Colin K, puisqu'elle favorisera sa vitesse de base. Remarquez, les Falcons auront eu un petit entraînement la semaine passée aux schémas en zone read que ne manqueront pas de proposer les Niners. Et puis... Et puis, surtout, quand on voit que Zach Miller a eu le match de sa vie contre les linebackers et les safeties des Falcons, on se dit que Vernon Davis pourrait finir la rencontre avec 200 yards et 4TD en réception pour San Francisco...

Atlanta devra aussi contrôler le ballon en attaque. Matty Melt sera-t-il de retour sur le terrain à l'occasion du plus gros match de sa carrière ? C'est le pari que je prends...

The Pick  :

San Francisco.


Casablancas  :


The Pick :



Ravens at Patriots

The Odds  : 3,30/1,22

Verchain  :

Hé, allez savoir, ça pourrait se jouer à un field goal aussi, cette saison... Ou à un drop dans l'endzone par un receveur numéro 2 ou 3 des Ravens. En tout cas, cette rencontre est la seule opportunité crédible de nous priver d'un Harbowl dans deux semaines.

Alors, pour le bien de mon estomac, je fais le choix du Gaviscon du football, le truc qui te plâtre les parois du bazar. C'est pas bon, mais c'est un mal nécessaire. En avant, Bellicheat et compagnie !

The Pick  :

New England

Casablancas  :



The Pick :


Allez, j' vous laisse, j'ai un cours de danse, là...


mardi 15 janvier 2013

Verchain's Takes - Divisional



VERCHAIN'S TAKES :
DIVISIONAL ROUND

Comme annoncé la semaine dernière, les Quick Takes reviennent dans le format de cette semaine. Et Casa est là, maintenant que son équipe est entrée en compétition... Enjoy. Ou pas...


VERCHAIN'S TAKES

  • Whatever, for me, it was not a good saturday. Juste parce que la possibilité d'un HarBowl en février à la Nouvelle Orléans existe encore et toujours. Et que ça me cause un sévère embarras gastrique. Je me sens donc sans forces, désabusé, envie de personne, à boire des litres de Coca Zéro en attendant que ça passe. Et ça ne passe pas. Immonde. Je repeins mes toilettes.


  • Fire Mike McCarthy. 14 minutes à jouer, 4th and 4 sur les 50 yards. Here comes the punting unit. Verchain just wrote the words 'game over' in his notebook. Ouais, je sais, c'est un plagiat total d'une des catchphrases de Gregg Easterbrook, TMQ, mais c'est pas grave. Il a rarement eu raison à ce point, l'ami Gregg. Tu perds de 14 points, avec une défense qui n'a pas été capable d'arrêter l'attaque adverse à plus d'une occasion ou deux, et tu rends le ballon à l'adversaire ? ARE U FUCKIN' KIDDING ME ??????

  • Évacuons tout de suite le truc. Harbaugh West est un gros connard. Je déteste ce type qui beugle, ce type qui appelle un temps mort sur kickoff à moins d'une minute de la fin du match, et qui beugle encore lorsque un Packer frustré à mort par le résultat du match vient bousculer Delanie Walker qui vient de récupérer la tentative d'onside kick de Sidney Crosby. Pauvre type. Ce genre de débiles humiliations auxquelles il semble prendre un plaisir foutrement plus important que celui que procurerait n'importe quelle relation sexuelle librement consentie d'un garçon normalement constitué avec Kate U ou Jaime E rend ce personnage insupportable au possible. Pauvre type.

  • Pauvre type, mais excellent coach. Là-dessus, il n'y a rien à dire. Il a gagné. Gagné ce match, bien sur, mais surtout gagné son pari personnel, celui sur lequel il allait de toute manière être jugé. Kaepernick. Toutes proportions gardées, nous avons eu droit samedi soir à une sorte de démonstration à la Johnny Football. Pour ceux qui n'ont pas suivi la saison de football universitaire, Johnny Football, c'est Johnny Manziel, le quarterback des Aggies de Texas A&M, qui vient d'être élu meilleur joueur de la saison. Grâce à la pathétique défense des Packers, qui n'aura existé que quelques minutes en tout début de rencontre, le temps d'une interception pour 6 points, Kaepernick aura été l'homme des records. Record de yards à la course pour un QB en playoffs avec 181 yards, la plupart sur des jeux en zone read option, une attaque contre laquelle les Packers n'ont pas trouvé de solution. Et pas toujours en partant d'un dispositif en pistol comme il en avait l'habitude du temps où il régalait les fans du Wolf Pack de Nevada, bien souvent sur des sets classiques ou du shotgun. Avec quelques passes de temps à autre pour laisser la défense dans le doute.

  • Grâce à la défense des Packers, les Niners ont ainsi explosé le record de yards de la franchise en playoffs, avec 579 yards au total. Et 323 au sol, avec Gore qui sort son premier énorme match avec Colin K derrière le centre (à plus de 100 yards, s'entend). La zone read option ne semblait pas trop convenir à Gore jusqu'alors. Eh bien, il a du avoir le temps de travailler un peu... Franchement, ça fait un peu chier de voir la franchise qui a hébergé Montana et Rice, ou encore Steve Young et Terrell Owens, battre un record avec Kaepernick et Crabtree... Quoique, les deux réceptions de TD de l'ex Red Raider de Texas Tech ont semblé aussi faciles qu'une double pénétration anale pour n'importe quelle actrice hongroise de film pour adultes...

  • J'ai eu de la peine en regardant les yeux totalement désespérés de Clay Matthews sur les nombreux replays que la Fox semblait prendre un malin plaisir à passer encore et encore...

  • Le Dieu de la Lumière, Aaron Rodgers, pas toujours aidé par ses receveurs (drop de Jennings qui n'a pas semblé s'arracher totalement sur l'action sur la fameuse 3rd and 4 précédant l'action qui devrait valoir un licenciement à McCarthy évoquée en tout début d'article), a eu du mal à trouver son rythme, et ne s'en sort qu'avec deux TD, dans un match qui aura été serré pendant trois quart-temps, avant que les Niners ne se la jouent bulldozer dans le quatrième quart.

  • Bon, assez parlé de ce match qui fait mal au cœur, et passons à celui qui doit faire mal au cul...


  • Fire John Fox !!!! Tu as trente secondes au chrono, 2 temps morts, un QB qui s'appelle Peyton Manning, tu joues à la maison, et tu décides de laisser couler et d'attendre la prolongation ? ARE U FUCKIN' KIDDING ME ??????

  • Bon, avouons que Peyton n'a pas été extraordinaire pendant cette prolongation, lançant notamment une interception hideuse, qu'on a plus l'habitude de voir lancée par un Sanchez ou un Henne... Complètement en travers du corps, une passe forcée vers sa soupape de sécurité qu'est Brandon Stokley chez les Broncos... Pas beau...

  • Le jour où Joe Flacco signe son nouveau (gros) contrat chez les Ravens, il pourra envoyer une partie de son bonus à la signature à Champ Bailey et à Rahim Moore. Parce que ces deux types auront permis que Flacco, quarterback ordinaire qui sort parfois de beaux matchs statistiques à défaut d'être réellement spectaculaires et aboutis. Bailey d'abord, dont je constatais le rajeunissement dans mes pronos de samedi, a semblé avoir trois ou quatre fois l'âge de ses artères devant Torrey Smith (ou plutôt derrière, parce qu'il a passé une partie de l'après-midi à mater le cul du receveur de Baltimore). Moore ensuite, nous a fait du grand n'importe quoi sur l'une des actions décisives du match, la passe desperado de Flacco vers Jacoby Jones et le TD de l'égalisation. Encaisser un TD longue distance sur une couverture qui doit être en préventive à cet instant du match (fin de rencontre, pas de temps mort dispo pour les Ravens), c'est une faute professionnelle, c'est simplement ridicule.

  • Parce que bon, je ne peux que constater qu'une nouvelle fois, quand Ray Rice passe la troisième (et les 100 yards), les Ravens sont au moins en mesure de rester dans le match, à défaut de l'écrabouiller (parce que bon, ce n'étaient pas les Petites Soeurs des Pauvres, en face...). Le vrai franchise player de l'attaque, c'est le petit coureur issu de Rutgers.

  • Et donc, la tournée d'adieux de Ray Lewis continue. Lewis a fait son match, et m'a un peu plus impressionné qu'au tour précédent. Leader en tackles de son équipe, bien soutenu notamment par Terrell Suggs (qui gagnerait à éviter les pénalités ridicules), plus dans la retenue et moins dans la danse de St Guy permanente. Quand je vous disais qu'il nous faisait des adieux à la Aznavour...

  • Un qui pourrait bientôt prendre sa retraite, c'est Ed Reed, qui n'a pas semblé au mieux, contrairement à son camarade de The U. Totalement mangé sur le TD de Demaryius Thomas, à la limite de l'erreur de rookie sur une tentative de retour de punt de ses 5 yards... Yikes...




  • Dans les équipes spéciales, cependant, on aura eu un gros match de la part de Trindon Holliday, qui ne réussira donc pas la saison parfaite (5 victoires avec les Texans, 11 avec les Broncos). Un TD en retour de kickoff, et un en retour de punt. Pas mal du tout.

  • Tout le contraire de Von Miller, en somme. C'était bien la peine de faire le con sur Twitter la semaine passée en présentant tes condoléances à la famille Flacco, pitre !

  • Bah, cette semaine, c'était le frère de Tebow (c'est donc ça, son quart d'heure de célébrité?) qui faisait le con sur Twitter :



  • Bref, on a eu deux beaux matchs sur la journée de samedi. De la dimension dramatique sur le premier (fire John Fox!!!!!!), des espoirs déçus sur le second (Fire Mike McCarthy!!!!!!)... Sans les résultats espérés... Dimanche...


  • Tout a commencé par le match le plus prenant des playoffs pour le moment, selon me, myself, and I. Sans doute parce que c'était un match sans passion en ce qui me concerne. I couldn't care less about the Seahawks or the Falcons...

  • Mais... Tiens... Pour rester dans l'ambiance, on pourrait commencer par un : Fire Pete Carroll !!! Gestion du temps épouvantable en fin de première mi-temps, qu'on peut toutefois imputer à Russell Wilson qui se fait sacker sur une troisième tentative, avant de paniquer et d'être incapable de remettre le ballon en jeu avant que la pendule ne dise merci. Mais surtout choix ô combien contestable de ne pas tenter un field goal sur une quatrième tentative et ne pas filer le ballon à Marshawn Lynch sur cette même action... Le fullback qui doit courir pour convertir ça ? Ah, et bien entendu, sur le field goal décisif de Bryant, Pete nous a fait la grande comédie d'appeler un temps-mort pour 'glacer' le kicker... Field goal manqué, bien sur... Et Pete qui se manifeste sur le mode 'meh euh, kikssé qu'a appelé un temps-mort ? Moi ? Nooooooooon !!!'. Ridicule... ARE U FUCKIN' KIDDING ME ??????

  • Dans le même esprit, notons la performance de Marshawn Lynch... Beast mode ? Not so much... Totalement contrôlé, le Lycnh... Avec deux fumbles, dont un qui a mené à un TD des Falcons... Tssss...


  • Russell Wilson, en tout cas, sort avec les félicitations du jury. Il a su porter son équipe, ce que je ne l'ai vu faire que trop rarement. Pour un type que j'ai souvent accusé de faire le minimum syndical, et de surfer sur des situations positives, je dois bien reconnaître que j'ai, pour la première fois, été impressionné. Parce qu'il a presque (et tout est dans le presque, là, vu que je ne l'ai toujours pas vu gagner un match tout seul) réussi le plus gros comeback de l'histoire des playoffs, plus de 20 points. Presque... En tout cas, deuxième mi-temps très intéressante, après une première où pas grand chose ne marchait... 14/19 pour 241 yards et 4 TD de plus de 60 yards sur six possessions en deuxième mi-temps... Mais tout est dans le presque...

  • On notera au passage le match énorme du TE Zach Miller chez les Hoax. La gestion du personnel des Raiders est à pleurer, pour avoir laissé partir ce type... 142 yards en 8 réceptions, avec un TD...

  • Finalement, ce match est celui des grandes premières pour les Falcons version Mike Smith, l'équipe qui a le plus gros record en saison régulière depuis 2008, derrière les Patriots. Et voir Tony Gonzalez, le meilleur TE de l'histoire du football (et une forme de précurseur, puisqu'il a inspiré le trend des TE venus du basket, les Thomas ou les Gates...), chialer comme un gosse après être enfin parvenu à devenir un type dont l'équipe a gagné un match de playoffs, au bout de sa trois cent cinquantième saison (je n'ai pas bien vérifié celle là...), ça fait quelque chose. Parce que bon, Matty Melt Ryan s'est encore à moitié effondré en fin de rencontre (interception au 4°), avant de sortir juste la passe qu'il fallait, à Tony G, pour placer Bryant avant le FG décisif. Parce que Mike Smith est le genre d'average joe qui ne déclenche pas les passions, comme son QB... S'il faut se réjouir du résultat pour une seule chose, c'est que la carrière de Tony G ne se termine pas sans une victoire en playoffs. En tout cas, moi ça me suffit comme ça.

  • On n'est pas passé non plus loin d'une démonstration ultime de bad karma pour chacune des deux équipes, ce qui n'a fait qu'ajouter à la dimension dramatique de la fin de match. Seattle marque le go ahead touchdown, et c'est la fête sur la sideline des Hawks. Preposterous. Kickoff, retour de Jacquizzzzzzzzz. Passe de Ryan à Gonzalez. Field goal. Célébration sur la sideline des Falcons, avec Arthur Blank, le proprio, qui distribue les accolades. Alors qu'il reste 13 secondes, et deux timeouts aux Seahawks. Preposterous... Parce qu'ils merdoient bien la remise au jeu, avec un squib kick qui fait tout juste 10 yards... Tssss... Tout ça pour que tout se termine par une hail mary de Wilson en toute fin de match, avec le temps expiré... Great ending.




  • Je ne vais pas faire beaucoup de développements autour de cette rencontre, puisque l'ami Casa va vous causer dans les grandes largeurs de Brady et Bellichick, etc... Juste deux ou trois petits trucs...

  • Allez, tous les perdants y ont eu droit, alors... Fire Gary Kubiak ! 4th and 1 sur les 33 yards de Houston ? Passe en profondeur ? ARE YOU FUCKIN' KIDDING ME ????? Quand tu as Arian Foster qui fait le boulot au max de ses possibilités (4° TD en autant de matchs de playoffs, au passage, même si c'est la première fois qu'il n'atteint pas ls 100 yards en playoffs) dans ton équipe ? Verchain wrote the words 'game over' in his notebook...

  • Gronk vient de se péter le bras, encore ? I feel for you, brother...

  • Les Texans, c'est vraiment une équipe en mousse... à chaque gros match, vladadam... Underachivers... Bon, allez... Passons aux choses sérieuses...



CASA'S CORNER


Might be coming soon. Je crois savoir que l'ami Casa a eu quelques problèmes personnels ces derniers jours, et qu'il n'est peut-être pas en mesure de nous livrer sa prose habituelle dans les temps. 

Whatever, we wish him well.


NEXT WEEK (on TV) :

Finales de conférence...

Samedi, San Francisco à Atlanta... Mwouais... Il me faut un rencard pour samedi soir, sinon je vais être obligé de me cogner ça en direct ? Really ? Yikes...

Dimanche, Baltimore à New England... Bon... Je vais prétexter une grosse journée au bureau pour attendre tranquillement la rediff du lundi, je crois...

Et après, il faudra attendre deux semaines pour le Super Bowl. Bon, j'annonce tout de suite que si c'est le HarBowl auquel nous aurons droit, je me réserve le droit de ne pas m'exprimer sur ce match, avant, pendant ou après...

D'ici là...







samedi 12 janvier 2013

Verchain's Picks - Divisional Round


VERCHAIN'S PICKS : 
DIVISIONAL ROUND

La semaine dernière, Casa et moi avons réussi à pronostiquer correctement 3 matchs sur 4. Pas mal, pour une fois... Et nous serons toujours à égalité sur les playoffs à l'issue de ce weekend de compétition... En effet, aucune originalité dans nos pronostics...


Ravens at Broncos

The Odds  : 3,90/1,16

Verchain  :

Première étape du tour de playoffs qui doit nous amener au match de rêve entre les deux plus grands quarterbacks des années 2000 : Peyton vs Brady. Frankenstein contre le Pretty Boy.

Seulement voilà, les Broncos d'aujourd'hui sont un peu plus que le Peyton Show qu'étaient les Colts sous la conduite du numéro 18. La série de 11 victoires de suite à l'issue de laquelle les Broncos ont accroché la première place de l'AFC ne tient pas qu'aux exploits du Real Manning. La défense de Denver, notamment Von Miller pour ce qui est de démolir les QB adverses et Champ Bailey qui semble rajeunir chaque jour un peu plus pour neutraliser les receveurs d'en face, joue un rôle prédominant dans les performances des Broncos.

Alors, certes, la seule présence de Peyton a suffi à transformer le sympathique mais pas génial Decker en héritier d'Ed McCaffrey, mais DeMaryus Thomas n'est pas encore aujourd'hui l'équivalent de Rod Smith.

La défense... La marque de fabrique supposée des Ravens depuis le tout début des années 2000... Une marque de fabrique qui a semblé sur le point de disparaître comme Frigidaire ou Motobécane avec l'absence de Ray Lewis. Le Retour du Roi est-il suffisant pour permettre à Baltimore de Passer les Deux Tours, voir de faire un second passage au sein de la Communauté de l'Anneau (le premier qui trouve la référence gagne un abonnement d'un an au Verchain Inc...) ?

Suspense insoutenable, non ?

Bah, pour peu que Joe Flacco nous refasse du Joe Flacco, on pourrait se faire sérieusement chier en attendant le grand match de la soirée de samedi...

The Pick  :

Denver


Casablancas  :

Malgré un début de saison à 9-2, peu de gens croient aux chances de Baltimore cette année. Alors que la défense a été très durement touchée par les blessures en début de saison, l’attaque fut bien trop irrégulière, entre les errements de Flacco et le playcalling douteux de Cam Cameron. En conséquence, les Ravens ont perdu quatre de leurs cinq derniers matchs, rattrapés par leurs déficiences.

Mais Cameron a maintenant été renvoyé et Ray Lewis l’enfant chéri est revenu. Baltimore a battu Indianapolis la semaine dernière au cours d’un match durant lequel la défense s’est montrée extrêmement rassurante.

Cela sera t-il suffisant pour disposer de Peyton Manning et des Broncos à Mile High ? Rien n’est moins sur. Denver reste sur une impressionnante série de onze victoires consécutives, contre une opposition parfois médiocre il est vrai, et fait figure de favori logique dans la conférence Américaine. Et lors de la dernière rencontre entre les deux équipes, le 16 décembre dernier, Baltimore avait coulé, concédant une défaite sur un score de 34-17 qui ne rendait pas complètement compte de l’ampleur de la défaite.

Un motif d’espoir tout de même pour les Ravens. Peyton Manning n’aime traditionnellement pas les climats froids et les températures devraient tomber bien en-dessous des -10°C cette après-midi dans le Colorado.

The Pick :

Denver


Packers at Niners

The Odds  : 2,05/1,57

Verchain  :

Enough is enough. On n'est plus dans l'analyse, là. On est dans le fanboyisme le plus total, et je l'assume.

Aaron Rodgers. Le type qui a tout fait pour pouvoir rêver de jouer un jour pour la franchise qu'il adorait en étant gamin, le type qui est allé à la fac à Berkeley, à côté de San Francisco, dans l'espoir d'être ainsi repéré par les Niners, le type qui s'est décomposé en direct devant les caméras de la télévision lorsque les Niners, encore eux, l'ont snobé avec le premier choix de la draft pour prendre Alex Smith. Green Bay a arrêté le calvaire de Rodgers. Et aujourd'hui, il a l'occasion de prendre une revanche sur le destin à Candlestick Park, l'endroit qui aurait du être le temple qui l'aurait fait Dieu.

Alors, ouais, la défense des Niners est plus impressionnante que celle de Green Bay. Alors, ouais, Colin Kaepernick est un merveilleux spécimen de QB de zone read. Alors, ouais, Harbaugh West est une tête de pioche, mais ses boys joueront à domicile et seront sans doute surmotivés... Mais... Je vous l'ai dit, il est temps de laisser tomber toute analyse et de se la jouer fanboy ultime.

Dieu de la Lumière, éclaire mon chemin !

The Pick  :

Green Bay.

Casablancas  :


San Francisco s’est imposé à Lambeau lors de l’ouverture de la saison mais ces deux équipes sont maintenant radicalement différentes.

Colin Kaepernick est maintenant aux commandes de l’attaque californienne et si l’ancien joueur du Wolf Pack de Nevada est capable de plays bien plus explosifs qu’Alex Smith il est peut-être aussi plus prompt aux erreurs. Rappelons nous tout de même que Smith n’était qu’à quelques actions seulement du Super Bowl l’an dernier et réalisa un match exceptionnel contre les Saints. C’était lors de ce même tour, à Candlestick déjà.

En face les Packers ont récupéré une bonne partie de leurs blessés, enregistrant les retours de Matthews, Woodson et Jennings notamment et cette équipe commencent à ressembler étrangement à celle de 2010…

Vegas donne San Francisco favori par 3.5 points et si les 49ers pourraient bien finir par remporter ce match, à condition que Kaepernick minimise au maximum les erreurs, je ne vois pas comment les locaux peuvent couvrir le spread.

The Pick :

Green Bay. Expect a shootout.



Seahawks at Falcons

The Odds  : 2,00/1,62

Verchain  :

Les Seahawks, cette équipe de power rush aux stats de passe anémique qui ont pourtant suffi à transformer un quarterback minuscule en révélation de la saison (ce type passe pour moins de 200 yards en moyenne, for crying out loud!)... Les Falcons, une équipe proprette, qui sent trop le savon et pas assez le club échangiste sur le coup de 5 h du matin (ouais, je sais, ça sent le vécu...), qui nous a habitué à gagner des matchs sans grande passion en saison régulière avant de tomber lamentablement à son entrée dans la série à élimination directe...

Qui choisir ? Je n'en sais rien...

Je dirai bien, tiens, que si Seattle parvient à se mettre en position de tranquillement manger la pendule et à tenir l'attaque des Falcons en dehors du terrain (quoique cette attaque n'apporte aucune vraie garantie, hormis celle de la fraîcheur physique après une semaine de repos), les hommes de Pete Carroll pourraient bien refaire le coup des Packers de 2010 (mais sans marquer 40 points...). Je souhaite simplement que ce ne sera pas, comme les Packers, pour aller retrouver le vainqueur de leur division en finale de conférence, mais pour nous offrir une revanche du match volé de la saison régulière, cette fois loin du Stade Machin et de son douzième homme...

Au vrai pays du football... Dans le Wisconsin...

The Pick  :

Seattle


Casablancas  :

The Atlanta Falcons, #1 overall seed in the National Football Conference, are less than a 3-point favourite at home against the sixth-seeded Seattle Seahawks, led by rookie quarterback Russell Wilson.
Yup’, you read that correctly.
Atlanta présente le meilleur record de la ligue à l’issue de la saison régulière mais cela semble ne revêtir que très peu d’importance à l’approche des playoffs. Matt Ryan n’a encore jamais gagné un match de playoffs en cinq ans à la tête de la franchise géorgienne. Alors que Tim Tebow, Mark Sanchez ou encore T.J Yates l’ont fait ces dernières années…
Ryan, c’est un bilan de 33-5 à domicile mais deux défaites cuisantes en playoffs, contre Green Bay il y a deux ans et contre New York l’année dernière dans un match où l’attaque des Falcons n’a pas produit un seul point.
Et c’est Seattle qui se présente donc au Georgia Dome cette année, une équipe complètement décomplexée qui apparaît comme capable de battre n’importe qui en ce moment. Russell Wilson reste une série de 20 TDs pour seulement 2 INTs au cours des sept derniers matchs, son équipe restant sur une belle série de six victoires consécutives depuis un magnifique comeback contre Chicago le 2 décembre dernier.


Atlanta aura tout la pression du monde dimanche après-midi tandis que les Seahawks, qui sont le choix de Nate Silver pour représenter la conférence Nationale au Super Bowl, peuvent se permettre de jouer de manière totalement relâchée. Les Falcons pourraient bien connaître une nouvelle désillusion…

The Pick :

Seattle.


Texans at Patriots

The Odds  : 3,90/1,16

Verchain  :

Casa va sans doute nous livrer une analyse dans les grandes largeurs sur ce match.

La mienne ? Je n'ai aucune confiance en Matt Schaub à l'extérieur en playoffs. Même si tout le monde nous promet un match au résultat plus serré que la branlée monumentale d'un lundi soir de saison régulière, ce que je ne suis pas loin de croire, je ne vois pas les Patriots laisser filer l'occasion de se donner une chance de retourner au Super Bowl, même si les deux seules défaites de Bradu à la maison en playoffs ont été contre des équipes que les Pats avaient explosé en saison régulière au Rasoir Stadium (les Suckazzz et les Ravens), et même si la route de New Orleans pourrait passer par Denver, ce qui fait un foutu détour... Beaucoup plus long en tout cas que de passer par Baltimore...

The Pick  :

New England

Casablancas  :

Après l’humiliation subie en quatorzième semaine sous les caméras d’ESPN, les Texans auront à cœur de réagir contre les Patriots.

Matt Schaub vient de décrocher sa première victoire en playoffs mais sort d’une prestation fort peu convaincante contre les Bengals. De manière générale, l’équipe texane a montré les mêmes limites la semaine dernière que lors des deux précédentes rencontres – défaites contre Minnesota et Indianapolis. Nul doute que Houston sera cependant sur-motivé à l’approche de ce match, Dan Shaughnessy*, le journaliste du Boston Globe, ayant déjà décerné la victoire à New England depuis plusieurs jours

Les Patriots, eux, auront bien sur en tête la défaite contre les Jets à domicile il y a deux ans. Après avoir facilement disposé des joueurs de Rex Ryan en saison régulière sur le score de 45-3, c’était déjà durant Monday Night Football, New England avait complètement déjoué lors des playoffs contre cette même équipe.

L’attaque emmenée par Tom Brady reste sur neuf victoires lors des dix dernières rencontres et propose une moyenne impressionnante de 34.8 points par match, aisément la meilleure marque de la ligue. Par ailleurs, cette équipe semble mieux armée que les années précédentes à l’approche du mois janvier grâce notamment à un jeu de course performant et à une infirmerie vide.

En effet, pour la première fois depuis des lustres, l’injury report ne comporte aucun joueur listé comme « questionable » ou « out » pour le match de dimanche. Une rareté lorsque l’on sait que Bill Belichick aime à annoncer une quinzaine de joueurs comme incertains en moyenne par rencontre.

Ce match ne devrait pas ressembler à la rouste administrée il y a un mois mais tout devrait se passer à la perfection pour que Houston puisse avoir une chance dans ce match.

The Pick :

New England.

* Dan Shaughnessy est un abruti et n’est aucunement représentatif de l’attitude des journalistes ou des fans en Nouvelle-Angleterre. Merci de ne pas respecter son opinion.


Allez, amusez-vous bien devant la télé, ou pas, et d'ici là...