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mardi 14 décembre 2010

Verchain's Takes : Week Fourteen
















SCORES
























STANDINGS














































STATS

Weekly Leaders










































Season Leaders






















WHAT YOU SHOULD KNOW


The Packers are not in great shape :

Ahem… 3 petits points contre… Les Lions de Drew Stanton ? Vraiment ? Oh, Aaron Rodgers…

Déjà qu’avec leur QB sur le terrain, les Packers avaient quelques difficultés à bouger le ballon correctement… Alors, avec Matt Flynn…

J’ai eu l’occasion de discourir il y a quelque temps sur l’absence de jeu de course chez les Packers, qui forçait Aaron Rodgers à tout faire, y compris à courir avec le ballon… Eh bien, cela lui aura coûté sa deuxième commotion de la saison, qui va peut-être coûter les playoffs à Green Bay.

Il reste aux Packers une visite dans le Massachusetts, et les visites des Giants et des Bears pour une finale potentielle de la NFC North.

Mais… Wait… La finale en question pourrait bien ne jamais avoir lieu. En effet, si les Bears l’emportent à Minneapolis ou à l’endroit où se disputera le match en question, ils tiendront donc 5 victoires en conférence (deux fois Lions, deux fois Vikes, et l’aller contre Green Bay).

Avec la défaite à Detroit, Green Bay, en gagnant tous ses derniers matchs (bon courage) serait au mieux à 11-5, avec un record en conférence de 4-2 (défaites au match aller contre les Bears, défaite à Detroit). Donc, derrière Chicago si les Bears parviennent à battre les Jets et les Vikings… Et si Green Bay perd un des deux prochains matchs, ils auront forcément besoin d’aide pour que la dix septième semaine de compétition, et leur dernier match de la saison, à domicile contre Chicago, ait un enjeu autre qu’une hypothétique qualification en tour de Wild Card, ce qui est loin d’être une évidence (voir ci-dessous), en gagnant deux matchs sur les trois…

Green Bay, l’une des équipes favorites des pronostiqueurs de début de saison pour atteindre le Super Bowl, est dans une position très, très instable…


The NFC South could send three teams to the Playoffs

Atlanta, plus on avance dans la saison, semble bien parti pour prendre la première place de la NFC, et s’offrir une semaine de repos avant d’entrer dans les playoffs. Les Falcons sont solides même lorsqu’ils ne sont pas nécessairement spectaculaires. Et gagnent. Avec un vieux Tony Gonzalez qui a enregistré dimanche son 87° TD en carrière, l’amenant à la 11ème place des marqueurs de tous les temps en réception. Avec un Michael Turner qui amène sa grosse carcasse dans l’endzone par trois fois, encore.

Les Saints sont toujours derrière, mais ne pourront pas prendre la première place en gagnant simplement leurs trois derniers matchs, dont une visite à Atlanta.

Et les Buccaneers, la vraie équipe surprise de l’année, plus que Jacksonville ou Kansas City, sont toujours dans la course à la Wild Card.

Look :

Il reste aux Falcons des matchs aux Seahawks, contre les Saints puis les Panthers. Record potentiel : 13-3 ou 14-2.

Il reste aux Saints à affronter Baltimore, les Falcons et enfin les Bucs. Record potentiel : anywhere between 10-6 and 13-3.

Pour les Bucs : reçoivent les Lions, les Seahawks et vont en Louisiane. Record potentiel : 10-6 ou 11-5.

Avec la plus ‘faible’ des trois équipes potentiellement à 10 victoires, qui peut menacer les équipes de la NFC South ? Green Bay, on l’a vu, pour une wild card éventuelle. Les Eagles ou les Giants, qui doivent encore s’affronter, avec des Eagles qui ont encore les Cowboys au calendrier, les Giants qui ont encore les Packers…

Tout ça pourrait se combiner (nous aurons le temps d’y revenir lors des dernières semaines de compétition, car pour le moment, nous travaillons surtout sur des « si ») pour permettre un phénomène plutôt rare ces dernières années : qu’une division envoie trois de ses quatre équipes en playoffs…


There’s no Magic in that Interim Head Coach, by the way…

Bon, ben… Apparemment, si nommer comme coach par intérim un des coordinateurs de l’équipe, et en l’occurrence un coordinateur offensif à la place du head coach viré qui avait une spécialisation sur la défense, et réciproquement, fonctionne plutôt pas mal, propulser un assistant inconnu depuis le poste de position coach vers la place de numéro 1 ne fonctionne pas.

Eric Studeville, le nouveau coach de Denver, n’a ainsi pas réussi à suivre les pas de Garrett à Dallas et Frazier à Minny. Et Denver s’est ridiculisé contre une équipe dont le meilleur attaquant sur la rencontre aura été… Le kicker Jay Feely !

Je me moque souvent (mais toujours gentiment) du fait que Dan Carpenter soit le meilleur attaquant des Dolphins, mais là, il tient son maître : Jay Feely, donc, qui inscrit un TD sur un fake play, en plus de 5 field goals… Ah, et welcome to the NFL, John Skelton.

Des Broncos où Kyle Orton se désagrège en ce moment, et où on verra peut-être Tebow, pourquoi pas… Au point où ils en sont… Et ce n’est pas l’arrivée de John Elway dans le front office qui devrait y changer grand-chose. On a vu ce qu’avait donné Marino à Miami. Rien. Et les Bills n’avaient même pas proposé un contrat à Jim Kelly lorsque leur QB légendaire avait fait une offre de service…



PLAYOFFS PICTURE

Bon, l'heure est venue de faire quelques ajustements, là...

American Football Conference :

Division Winners : Pittsburgh Steelers*, New England Patriots*, Indianapolis Colts, Kansas City Chiefs

Wild Cards : Baltimore Ravens, New York Jets.

Might be in soon : Jacksonville Jaguars

Need Help (and better start helping themselves first): San Diego Chargers, Miami Dolphins, Oakland Raiders.


National Football Conference :

Division Winners : Atlanta Falcons*, New York Giants*, Chicago Bears, St Louis Rams.

Wild Cards : New Orleans Saints, Philadelphia Eagles.

Not that far away : Tampa Bay Buccaneers.

Need Help (and better start helping themselves first) : Green Bay Packers


THREE THINGS I LIKED

  1. DeSean Jackson, higlight reel. Et un nouveau TD longue distance pour DeSean Jackson, mais pas sur une cross route. Et un flag bizarre pour célébration excessive, et immérité, dans le cadre d'une solide victoire des Eagles. Son geste de se laisser tomber en arrière dans l'endzone aura suffi à énerver les arbitres de la rencontre... Bizarre, dans une Ligue qui laisse Adrian Peterson ou Peyton Hillis célébrer en mettant un genou en terre, ce qui constituerait apparemment un geste de 'prière'... Are you kidding me ? Jouer à la rock star qui attend que les vivas de la foule viennent lui battre la poitrine, c'est faire 'un geste de prière' ? Si ça continue, je vais finir par adhérer à l'association de James Harrison contre les discriminations dans l'arbitrage... 91 yards pour cette action, dans un match qui aura vu le receveur (non, pas de sympathie particulière pour ce type de ma part, mais la moindre chose qu'on puisse en dire, c'est que le joueur est excitant à voir jouer) empiler 210 yards en seulement 4 réceptions. Les Eagles ont montré qu'ils savaient se remettre dans le bon sens, et leur coureur McCoy carbure, en ce moment. Big match dimanche prochain. Ah, et qui sait... Ahmad Bradshaw demandera peut-être un autographe à Mike Vick, comme l'a fait l'ami Tashard Choice à l'issue du match de dimanche...


2) Hey, Peyton didn't throw a pick. Alleluia ! Hé bé, voilà. C’est pas plus compliqué que ça, mon grand, tu vois ? Le ballon, tu le lances aux types qui ont un maillot de la même couleur que le tien. Enfin, nous savons maintenant que Peyton The Great n’est pas en train de nous faire une crise de Favrite (les interceptions sont les premiers symptômes, la prise de retraite intempestive sont déjà des signes d’une maladie en phase quasi-terminale). 319 yards, 2TD, pas d’interception, une victoire pour les Colts, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Hormis qu’Indy est toujours incapable d’arrêter qui que ce soit au sol, ce qui ne doit pas manquer de mettre les fans de Jacksonville dans un état proche du mien lorsque Jenn me murmure des trucs pas propres à l’oreille…


3) Pittsburgh's defense is back. Depuis le match contre Baltimore, la défense des Steelers vole au secours d’une attaque qui n’est pas en plus belle forme que le nez de son quarterback. Deux interceptions retournées pour TD par Polamalu et Woodley (les deux TD des Steelers dans ce match, d’ailleurs). Ah, et une interception supplémentaire pour Taz’. Et bien entendu, la défense au sol n’a pas encore permis à un seul coureur adverse d’attendre la barre des 100 yards. Il manque juste un peu plus de yards à la course, et de points, par Mendenhall pour que les Steelers puissent à nouveau être considérés comme une redoutable équipe de janvier. Mais en tout cas, les Jets peuvent trembler, et ça c’est bon…


THREE THINGS I DIDN'T LIKE

  1. Backup Quarterbacks are killing you. Down goes Aaron Rodgers, here comes Matt Flynn. Pourcentage de complétions honnête, mais des passes affreusement flottantes, et une interception ridicule dans l'endzone pour le LB Levy, et une dernière passe pour tuer le suspense sur une quatrième et un yard, avec une tentative de passe longue distance vers Jennings. Uh ? Hey, coack McCarthy, c'est Flynn sur le terrain, pas Rodgers... Down goes Jason Campbell, here comes Kyle Boller. Kyle Boller !!! Le type qui est plus célèbre pour sortir avec l'ex-Miss Californie Carrie Prejean, jolie blonde qui n'aime pas les gays, que pour ses performances sur le terrain, on en oublierait peut-être même qu'il a été drafté au premier tour par Baltimore il y a quelques années. Interception qui tue un drive, ramenez Campbell !!! Brody Croyle : 0-9 as a starter, titulaire pour Kansas City. Make this 0-10. Killers.


2) Graham Ga-Noooooooo. Goat of the Week. Tampa Bay a été loin d'être brillant, et si Josh Freeman compte maintenant 7 victoires sur des comebacks, il peut remercier le kicker des Redskins, qui est passé complètement au travers de son match, attirant son holder Hunter Smith dans l'orbite de sa performance en trou noir... Missed FG from the 34 (hit the upright), from the 24 (wide left) et la cata sur le PAT qui aurait permis aux Redskins d'arracher la prolongation à l'issue d'un match moche. Un match qui aura donc été gâché par le kicker des Redskins qui aura donc privé Ryan Torrain d'un petit triomphe personnel pour son retour à la compétition (172 yards à la course, dont 158 en première période)


3) And suddenly, Jake Delhomme’s mind came back into his body.Héhé... Le retour... Après avoir habité le corps de Chad Henne la semaine passée, l'esprit de Jake Delhomme est revenu tranquillement habiter le corps d'un joueur qui portait le nom de Delhomme sur son maillot ce dimanche. 86 petits yards, une interception lancée, un fumble perdu, et des Browns qui ne dépassent pas la ligne médiane de toute la seconde mi-temps... Vintage Delhomme, qui aura bien inspiré son équipe des Browns qui s'est battue toute seule, avec notamment 3 fumbles de Peyton Hillis et un fumble pour Josh Cribbs... Si même les meilleurs atouts offensifs des Browns sont contaminés par Delhomme, Mangini aura du mal à conserver sa place l'an prochain. Les Browns sont éliminés de la course aux playoffs avec cette défaite, en attendant...

L'HISTOIRE A LA CON

Ah, voilà enfin une vraie belle histoire à la con, comme on les aime, ici, au Verchain Inc.

Perrish Cox, le cornerback des Broncos, a été arrêté jeudi dernier dans une histoire d'agression sexuelle (ouais, on aime ça, au Verchain Inc, les histoires sous la ceinture) qui se serait produite le 28 octobre dernier. Soit pendant que les Broncos étaient à Londres pour préparer le match de Wembley. Cox, victime d'une commotion, était resté à Denver.

Et bien entendu, la défense de Cox va sans aucun doute tenter de mettre l'incident sur le compte de sa commotion. Héhé. La grande classe, en quelque sorte...

À part ça, en parlant de classe...

L'histoire sans fin de Jenn Sterger se poursuit, avec lors de cette dernière semaine les déclarations de Phil Reese, le manager de celle qui pourrait bien devenir la Resident Hottie du Verchain Inc, affirmant que Jenn ne collera pas de procès, aux Jets, à Brett Favre ou à la Ligue si Favre est suspendu, et que la Ligue met en place un protocole destiné à lutter contre le harcèlement sexuel dans le football.

Le camp Favre, de son côté, ne demande qu'une chose, qu'il y ait un procès, afin de pouvoir se défendre et lever le doute sur les faits qui lui sont reprochés.

Bref, c'est toujours le foutoir, et, malgré les affirmations de l'avocat de Jenn que le seul but des actions du camp Sterger est de laver le nom de Jenn, chaque déclaration ne fait que l'enferrer dans son image de gold digger, de chercheuse d'or.

Heureusement qu'il y a le Verchain Inc pour lui reconnaître tous ses mérites.

And, so, here is your mandatory Jenn Sterger Pic of the Week

Laver mon image, laver mon image...
En attendant, qui c'est qui te lave tes caleçons, mon petit Verchain ?




IN OTHER NFL NEWS / QUICK TAKES / JUST ASKING...

  • Jimmy Clausen, fais gaffe, tu vas sans doute t’en prendre une sur le terrain d’entraînement prochainement. Steve Smith (le vrai, pas celui qui joue aux Giants) a laissé échapper sa frustration (insert fart joke here) dimanche, affirmant que ‘[Clausen] n’est plus à Notre Dame ici, s’il veut s’excuser de ses performances, qu’il le fasse auprès des gens avec qui il se trouve dans le huddle. » Le rookie était en effet allé chercher le linebacker Jon Beason pour lui présenter des excuses pour sa maigre (une nouvelle fois) performance de dimanche. Savoir pourquoi Beason… A vous de me dire (insert gay romance joke here).

  • Kevin Curtis, survivant du cancer, revient en NFL, et c’est à Miami que ça se passera. Le receveur, qui avait réalisé une saison intéressante à Philly après avoir quitté les Rams en 2007, a eu de nombreux pépins de santé, pour finir avec un cancer du testicule.


  • College Coaching Updates : je parlais dimanche de la possibilité pour Gus Malzhan, le coordinateur offensif des Tigers d'Auburn qui pourrait jouer la carte de l'intérêt montré par Vanderbilt pour obtenir un contrat revalorisé à Auburn. Bing, got it : 1.3 millions par an à compter de la saison prochaine pour Gus. Miami a trouvé son coach : Al Golden quitte Temple pour prendre les rênes de The U.

  • Nouveau contrat pour Jamaal Charles : le coureur des Chiefs transforme sa bonne saison en monnaie sonnante et trébuchante, recevant un contrat avec une garantie de 8 millions, et qui pourrait aller jusqu'à 32 millions maximum (non garanti, donc) s'il atteint certaines stats sur les cinq ans de la durée du contrat...

  • Milestones : Steven Jackson des Rams en est maintenant à 6 saisons consécutives à plus de 1000 yards, record de la franchise. Cincinnati en est à 10 défaites de suite, record de la franchise.

  • Les Bills pourraient bien se voir contraints de mettre un terme à la saison de leur receveur Lee Evans, blessé, et qui ne réalisait pas une saison formidable. A 29 ans, c’est peut-être le début de la fin pour un joueur souvent sous-estimé.

WHAT ABOUT YOUR TEAM ?

Miami Dolphins






















Je ne vais pas ressortir ma célèbre imitation de Denny Green, avec son 'they are...', mais les Jets sont ce qu'ils semblent être, une belle bande de petites frappes minables. What was that ? De qui se moque-t-on ? Bush League play ! T'as trop regardé Friday Night Lights, Sal Alosi ? La scène du coach de Chépluki qui fout en l'air Tim Riggins sur le bord de la touche ? Putain de pitre.

Et les Jets ont encore fait preuve de leur nullité absolue en communication 'de crise', en essayant de nous vendre la suspension et l’amende infligée à ce monsieur Alosi comme la juste rétribution d’un geste ‘qui n’a rien à faire sur un terrain de football’… So, fire thay guy ! Et si, finalement, tout ça était planifié, de tenter de faire tomber les joueurs de couverture de punt ??? Marion Cotillard, Jean-Marie Bigard, Eric Meyssan, vous foutez quoi là ? Dénoncez ce complot, merde !

Au lieu de faire les kékés à enterrer des ballons, Sexy Rexy et sa troupe feraient mieux de la boucler une fois pour toute, et de se concentrer un peu sur le jeu. Parce qu'ils ont frisé le ridicule, une nouvelle fois.

Qu'elle était belle, cette image de fin de rencontre, avec un Sanchez qui a un peu de mal à se relever, et les Dolphins qui célèbrent la victoire autour.

Parce que mes Dolphins la leur ont mis. Bien profond, à sec, avec une poignée de gravier et une autre de paille de fer. Ça fait mal, non ? Héhé.

Un match atroce. Prenant quand on est fan, mais atroce, dans le fond.

L'attaque aérienne des Dolphins ? Inexistante ou presque, sauf sur un play, le TD offert par Henne à Brandon Marshall. Sinon ? 55 yards, avec un 5/18 pour Henne ? 5 sacks encaissés. Cover your eyes awful. La course ? Pas mieux, mon colonel... Une centaine de yards au total, et toujours pas de coureur à la century mark.

Finalement, le coup d'emmener les joueurs voir une comédie musicale inspirée de la vie de Vince Lombardi aura fonctionné. Car la défense, mes amis, la défense... Aura été à la limite du formidable. Etouffante, par moments. Les Jets incapables de courir, avec 2.6 yards en moyenne pour un Tomlinson bien loin de l'impression de résurrection qu'avait donné son début de saison. Plusieurs passes bien défendues, et une interception de Nolan Carroll, belle façon de se racheter après le manqué de la semaine passée face à Cleveland qui aurait pu rapporter un TD à Miami.

Six sacks au total, dont deux pour Cameron Wake qui est maintenant le leader de la catégorie dans la Ligue toute entière. Smile.

Faudrait les emmener voir une comédie musicale qui s'appellerait 'Don Shula', Tony, la prochaine fois, tiens...

Un beau début de match, avec l'interception de Carroll, sur une passe bien forcée par Fakechez, et trois points pour Carpenter, puis le fumble forcé du même 'quarterback' des Jets par Langford qui aboutit sur le seul TD du match pour Marshall.

D'habitude, quand je vois les Jets, je vomis dans ma bouche. Et sur ce coup là, je n'ai pas eu besoin du concours de Jenn pour produire autre chose, if you see what I mean. Battre une équipe que toute la fan base du Fish déteste, ça n'a pas de prix. Playoffs ou pas playoffs à l'arrivée. Ah, si seulement Miami avait battu Cleveland. Là, malheureusement, avec la visite qu'il reste à faire à New England en fin de saison, les espoirs sont quasiment morts, à moins que Bellicheat ne décide de la mettre à Sexy Rexy, en envoyant sa réserve, su la première place de l'AFC est acquise... On peut toujours rêver... Mais je n'y crois plus depuis dimanche dernier. Gagner encore trois matchs... Contre les Bills et les Lions, c'est une éventualité. Battre les Pats... Not so much... Et encore, Miami est capable de passer à travers comme contre Cleveland...

Et en attendant, Stephen Ross, va construire immédiatement une statue à monsieur Brandon Fields devant le 'Whatever its name is gonna be next week' Stadium de Miami. Right. Now. Fields, le punter des Dolphins, s'est transformé dans les éléments déchaînés, en une sorte de Shane Lechler du pauvre, avec près de 50 yards net par punt sur une dizaine de tentatives, repoussant à chaque fois les Jets dans leurs 20 yards.

De quoi faciliter quelque peu la tâche de la défense, donc, qui aura rendu Sanchez, la seule raison pour laquelle les Jets vont aller au Super Bowl, ridicule. Now, stop talking. 17/44, une interception, 4 fumbles... J'ai eu un vrai plaisir à le voir se désintégrer sous la pression de la défense.

HELLLLLLLL YEAAAAAAHHHHHHH !!!

Hey, Verch', lâche pas tout maintenant, j'ai ramené des copines !!





Oakland Raiders :










































Tiens, voilà encore une nouveauté. Après l'équipe de schizophrènes qui enchaînait un match complètement abouti avec un match totalement raté, voici une nouvelle version des Raiders d'Oakland, celle qui réussit sa première période, et qui passe complètement au travers de la seconde. Ou alors, le petit speech de MoJo à ses troupes à la mi-temps a porté ses fruits, et mené les Jaguars à une belle victoire, quoiqu'un peu facilitée par la disparition de la défense des Raiders, notamment contre la course.

Les fans des Jaguars me reprocheront sans doute une nouvelle fois de limiter la portée de la victoire de Jacksonville. Ce n'est pas le cas. Mais... Parce qu'il y a un mais... J'ai déjà souligné plus haut la mauvaise impression laissée par Kyle Boller... Et Jason Campbell n'a pas fait beaucoup mieux lors du money time, alors qu'Oakland lançait un drive dans les dernières secondes du match, lançant une passe bizarre en plein champ vers son receveur qui se faisait tackler immédiatement, mettant un terme au match, de fait, avec le chrono qui égrainait ses dernières secondes.

Mais ne minimisons pas trop la superbe performance de la ligne offensive de Jacksonville sur le match. Les hommes de la ligne ont permis le retour des Jags d'une remontée de seconde période qui ne s'était pas produite depuis l'an passé. En effet, cette saison, les Jags, lorsqu'ils étaient menés à la mi-temps, venaient forcément à perdre à la fin du match.

Le pass block n'est pas encore au point (concédant deux nouveaux sacks), mais au sol, là où ça compte en cette période de l'année (pas en Floride, remarquez), dans le jeu de course, les linemen des Jags ont ouvert le terrain pour un total de 234 yards. On a même eu droit à un bon vieux jeu en option comme on n'en voit que sur les terrains universitaires. Les Raiders ont donc concédé 6.9 yards par porté, avec quelques big plays, dont la course de 74 yards de Jennings.

Par delà l'effondrement de fin de match (gros retour de kickoff des Jags, enchaîné sur une course quasiment sans se faire toucher pour Jones-Drew pour 30 yards et le TD qui donne l'avantage aux Jaguars, forçant les Raiders à tenter un comeback de dernière minute), on notera notamment que les équipes spéciales ont un peu abandonné les Raiders, Jacoby Ford, qui a fait tant de bien à Oakland cette saison, commettant notamment un fumble qui ouvre la porte à une passe de TD de Garrard pour Sims-Walker.

Les Raiders n'ont pas fait un si mauvais match, dans le fond, même si la défaite demeure méritée, dans l'absolu, tant les Jaguars ont su se remettre dans le droit chemin, et gagner le momentum sur le terrain. Par la course. Et c'est une chose qui laisse beaucoup d'espoirs à Jacksonville avant la 'finale' de l'AFC South la semaine prochaine au Lucas Oil Stadium contre les Colts. Si le gameplan de Del Rio et compagnie consiste une nouvelle fois à jouer sur la force actuelle des Jaguars, le jeu au sol, les Colts vont souffrir. Affreusement. Mais nous aurons l'occasion d'en reparler.

Soulignons plutôt ici l'excellent match de Darren McFadden, une nouvelle fois complètement libéré dans son jeu, avec 123 yards au sol, 86 en réceptions, et 3 TD. Et la belle performance également de Jason Campbell, au moins en première mi-temps, avec un rating parfait à l'issue de la première demi-heure de jeu.

Campbell aura été moins précis à l'issue de son petit passage sur le banc consécutif au choc à la tête qu'il a reçu. Et qui a donc permis à Kyle Boller de tuer un drive en lançant une interception.

La presse se fait écho d’une possible friction entre le coach Cable et son coordinateur offensif Hue Jackson. Cable, qui ne voulait pas de Jackson à la base, aurait reproché à son OC le choix des plays lorsque Kyle Boller était sur le terrain…

A 6-7, les Raiders son quasiment éliminés de la course aux playoffs à l'Ouest, deux défaites derrière les Chiefs, et une derrière les Chargers qui auront un calendrier assez favorable pour finir. De la capacité d'Oakland a gérer les trois derniers matchs, à ne pas laisser tomber maintenant que tout espoir est presque dissipé, dépendra peut-être la fin de saison de l'AFC West, avec le dernier match de la saison qui verra les Raiders se rendre à Kansas City.


San Diego Chargers :
























A good old pasting. Les Chiefs étaient-ils à San Diego ce dimanche ? C'est une des grandes énigmes de la science...

Parce que bon... La défense des Chargers qui s'était écroulée contre l'attaque à la course des Raiders la semaine passée et qui affrontait ce dimanche l'une des attaques au sol les plus solides de la Ligue a tout simplement été infranchissable. Un bon vieux blanchissage, comme disent nos amis du hockey. Shutout, les Chiefs.

67 maigres yards en attaque pour KC, le second total le plus faible de l'histoire de la franchise cinquantenaire, et la première fois que les Chiefs n'arrivent pas à inscrire un seul point aux Chargers, et seulement cinq first downs, dont un seul avant la mi-temps.

Hé, si on ne mesure vraiment l'importance d'un joueur pour son équipe que lorsqu'il est absent, les Chiefs feraient mieux de filer un contrat à la Manning ou à la Brady à Matt Cassel, là, tout de suite.

Domination totale. Avec Brody Croyle à la place de Cassel, les Chargers pouvaient se concentrer sur la course, et contrer le duo Charles – Jones. Mission accomplie, et les Chargers reviennent dans la course, retrouvant un record positif pour la seconde fois de la saison.

426 yards en attaque, dont 226 sur des passes de Rivers, qui complète tranquillement 18 de ses 24 passes, dont deux pour des TD de Malcolm Floyd.

Le jeu de course, délaissé beaucoup trop tôt sans doute la semaine passée, comme l'on prouvé les Jaguars contre Oakland, a fonctionné merveilleusement contre une défense des Chiefs qu'on n'avait que rarement vu aussi à la peine, et par moments simplement incapable de tackler l'adversaire. 207 yards au sol, meilleure performance de la saison pour les Bolts, avec des yards assez harmonieusement répartis entre Tolbert (66 yards, TD), Matthews (65 yards, TD) et Sproles (53 yards). On aura même vu Vincent Jackson porter le ballon sur un end around pour 14 yards.

Les supporters de KC peuvent en vouloir à Herm Edwards, leur ancien coach, qui leur aura donc apporté Tyler Thigpen (0-11 en carrière) et Brody Croyle (0-10)... Héhé...

Tout n'a pas été parfait pour San Diego non plus, avec une interception et un fumble de Rivers, mais la défense a répondu présent, limitant notamment les Chiefs à 16 yards sur 19 plays en seconde mi-temps.

Et maintenant, les Chargers sont toujours en course, avec des Chiefs qui tanguent quelque peu.

L'espoir est toujours là. En gagnant les trois prochains matchs, les Chargers peuvent encore gagner la division, il ne leur reste que trois équipes au record négatif à affronter (San Francisco, Cincy et Denver). Pour les Chiefs... Chez les Rams, Tennessee puis les Raiders... Who knows...


Baltimore Ravens :







































Bon, ben… Voilà, quoi… Une victoire de plus au compteur. Pas de quoi écrire à ses parents,dans le fond… Mais peut-être, qui sait, un signal d’alarme qui s’est allumé dans les crânes des supporters des Ravens.

L’ami Laurent mentionnait la semaine dernière dans notre dialogue autour du match entre Pittsburgh et ses Ravens chéris le fait que Baltimore n’est pas insubmersible (j’interprète ses propos sur l’utilité d’aller en playoffs pour tout jouer à l’extérieur et se faire sortir rapidement). Au vu de la deuxième mi-temps, j’aurai presque tendance à écouter ce qu’il raconte, pour une fois…

Mais laissons parler Ray Lewis : "There's always plays that define where you go. For us to get that win the way we got it, I'm telling you, if you're not happy, there's something wrong with you." Compris, Laurent ? T’as un problème, mon gars !

Une première mi-temps dominée par Baltimore, avec un Flacco tranquille, un Mason qui doit être tout content d’avoir réceptionné deux TD, tellement content qu’il en perdait sa chaussure sur le second (ou alors, c’était pour montrer qu’un vieillard peut survivre sans ses pantoufles, formidable message d’espoir pour toute une génération…), une ligne offensive pas toujours au top et une défense qui rendait tout mouvement très compliqué pour l’attaque Texane (hey, at least, the cheerleaders look good, je vous l’ai déjà dit…).

Ah, et Papy Mason peut être content. Il totalise 53 réceptions sur l’année, ce qui en fait septième joueur de l’histoire à atteindre au moins 50 réceptions sur 11 années consécutives. C’est bien, maintenant,tu peux t’asseoir sur le banc, et laisser tranquille ce pauvre Joe Flacco. Non mais.

Début de seconde période… Kickoff return de 103 yards pour David Reed (qui court vraiment vite, comprends pas comment il a fait pour laisser les flics perquisitionner sa maison, et chercher de la dope, sans foutre le camp en courant). Et puis… Plus rien…

Ou plutôt, si… Les Texans étaient de retour. Ils avaient déjà essayé de nous faire le coup la semaine passée à Philadelphie, remarquez. Un vrai retour au score, avec quasiment que du tout rouge au tableau d’affichage pour la seconde mi-temps. Avant qu’une passe interceptée de Schaub en prolongation, retournée pour une quinzaine de yards par Josh Wilson ne vienne finalement donner la victoire aux Corbeaux.

Les Ravens ont un peu arrêté de jouer, après avoir pris 21 points d’avance au score pour la deuxième fois de la partie. Momentum swing, avec des Texans qui ont tout tenté pour revenir, et réussi une conversion à deux points suite au dernier TD inscrit par Andre Johnson, qui attrape le ballon mieux qu’il ne se bat.

Et inefficacité totale à bouger le ballon sur les deux derniers quarts pour les Ravens également. Cam Cameron… We’re looking at you. Et on évoquera sans doute autour des Ravens une nouvelle fois la décision surprenante de l’équipe de tenter une passe sur une troisième et longue (that’s what she said) à 44 yards, avec moins de trois minutes à jouer… Les explications d’Harbaugh à ce sujet sont faites dans une langue du bois dont on fait les lunettes de toilette… Bizarre, ce call. Comme la 2nd and 5 à la passe qui amène le fumble de Flacco la semaine passée… Ici, les Ravens auraient pu économiser une quarantaine de secondes et/ou forcer les Texans à prendre un temps-mort… Et quand on sait que l’égalisation s’est produite à 20 secondes de la fin… 

Bref, un match qui n’amènera pas de grande sérénité à Baltimore avant d’affronter la bande à Brees, surtout que les Ravens ont laissé passer quelques courants d’air dans leur défense aérienne en seconde période, et que Colston, Meachem et Moore, c’est plus complet que Johnson, Walter et Jones. A moins que ce match ne leur serve de coup de pied aux fesses, leur permettant de prendre conscience qu’il ne faut absolument rien lâcher, jamais, dans le football professionnel, et pas seulement être au top le jour où l’on joue un adversaire qu’on déteste profondément… Suivez mon regard…


New England Patriots at Chicago Bears

































Mais qui arrêtera les Patriots ? L'équipe de coach Hoodie démolit des équipes promises aux playoffs les unes après les autres, en ce moment. Après les Jets la semaine passée, ce sont cette fois les Bears qui sont passés à la trappe. Et dans les grandes largeurs.

Un vrai temps de l'Illinois pour cette rencontre, disputée dans une tempête de neige, sur une pelouse rendue abominablement glissante, où l'on avait du mal à distinguer les lignes, où on pensait que le jeu de course pourrait prendre le pas sur le jeu de passe. Pourtant, le jeu habituel de passes de Brady and co a fonctionné à merveille contre une défense des Bears curieusement absente sur la rencontre.

Tom Brady n'a fait que solidifier sa course vers le titre de MVP, dans des conditions dantesques, avec 27 complétions sur 40 tentatives, pour 369 yards et 2TD. Et une nouvelle fois, aucune interception.

Une fessée, complète, posée, sans coup férir. Un match entendu dès la mi-temps. 33-0. Where, oh where were Da Bears ?

En défense, en tout cas, quasiment absents. Deion Branch, qui n'est plus un perdreau de l'année, a pu accumuler 151 yards en réception, le record de sa carrière, dont 59 sur une réception de TD alors que les dernières secondes de la première période s'écoulaient. Un play un peu bizarre, d'ailleurs. Bellichick avait demandé à Brady de poser un genou à terre, pour terminer la première période. Et Brady a pris sur lui de lancer le ballon vers Branch. Bizarre. La marque d'un gagneur ? Ou une absence de sportivité ? Difficile à dire. On a tant reproché à Bellichick en 2007 de tout faire pour aggraver le score en fin de rencontre lors des démonstrations offensives des Pats... Et si c'était Brady, le responsable ? Voilà de quoi teinter quelque peu en gris l'image bien lisse du quarterback. Faites-vous votre propre idée.

Un petit TD pour le minuscule Woodhead. Et ça me fait toujours autant marrer de voir les linemen offensifs de New England qui doivent tous mesurer entre 1m90 et 2m venir féliciter le coureur, qui a vraiment l'air de Sarko serrant la main aux avants du 15 de France à chaque fois.

Celui qui aura le 'Funny Name Verchain's MVP' en fin de saison, BenJarvus Green-Ellis, n'a pas touché la terre promise, mais a apporté 87 yards au sol à son équipe.

Welker a contribué lui aussi à la démonstration, contribuant pour 115 yards à un attaque qui en aura ramassé 475 sur le dos de pauvres Bears qui ont du se contenter de 185 yards en tout et pour tout.

185 yards, donc, dont 152 yards à la passe pour un Cutler très imprécis dans ses lancers (12/26), avec deux interceptions et deux sacks, pour un rating de... 32,9... Oh hum... Le jeu de course des Bears a une nouvelle fois déclenché sa balise Argos, sombrant totalement à nouveau. Difficile, vraiment, de voir clair dans le jeu de cette équipe de Chicago, capable du meilleur comme du pire... Et c'est parfois dans le pire qu'ils sont les meilleurs...

Avec la défaite des Jets, les Patriots semblent tranquillement partis pour s'assurer l'avantage absolu du terrain en playoffs (New Jersey rencontrera les Steelers la semaine prochaine), et recevront la semaine prochaine les Packers, pour donner un bon coup de main aux Bears à distance, peut-être. Sans Devin McCourty ? Le corner rookie qui fait une excellente saison n'a pas du tout joué en seconde période, blessé.

Les Bears, eux, doivent affronter les Vikings. Une victoire contre Minny qui pourrait se conjuguer à une défaite des Packers (surtout si Rodgers n'est pas remis), et les Bears seraient à la porte des playoffs.

En attendant, New England est qualifié pour les playoffs, officiellement.


New York Giants :





















Les Giants ont gagné, facilement, et pourtant, aujourd’hui, tout le monde ne parle que d’une seule chose : The End of The Streak. Ahem…

Le match ayant du être décalé à lundi pour cause d’effondrement du toit du Metrodome de Minneapolis, on se disait qu’il s’agissait d’une conspiration pour permettre à Favre, avec un jour de repos en plus, pourrait éventuellement participer au match, et faire un des trois pas qui le séparaient de la marque absolument fabuleuse de 300 titularisations consécutives.

Think again. Peyton Manning est aujourd’hui le joueur avec la plus longue série de titularisations consécutives, avec 205. En attendant, la saison et la carrière de Favre sont peut-être terminées. Blessé à l’épaule, il ne sent plus sa main droite qui est engourdie, et n’est donc pas en état de lancer un ballon correctement.

Tarvaris Jackson n’a pas le bras en vrac, théoriquement, mais il n’est pas bien meilleur quand il s’agit de lancer le cuir, non plus. Les Vikings vont donc avoir un vrai problème à résoudre en fin de saison : qui sera leur quarterback la saison prochaine ? (hint : Tyler Thigpen est disponible. Gratuit. Cadeau. Ecrivez de ma part à Tony Sparano et Jeff Ireland).

Ah, la citation de l'ami Brett : avant le match, il n'était « pas capable de faire quoi que ce soit »... That's what she said...

Le quarterback des Giants, le frère du type qui a arrêté de lancer des interceptions jeudi dernier, lui, n’a pas été bien brillant non plus. 22/37, 87 yards, 1 TD et deux interceptions de plus… Il n’a toutefois pas poussé la pitritude jusqu’à venir couper la course de son running back, entraînant une collision gaguesque, comme ce bon vieux Tarvaris… Malgré cela, Manning établit quand même un record pour les QB des Giants, devenant le premier QB de la maison bleue à lancer pour plus de 3000 yards pendant six saisons consécutives.

Mais bon, les Giants semblent décidés à suivre la recette qui leur a si bien réussi la semaine dernière. Donne le ballon à Jacobs ou à Bradshaw, et regarde les courir. Un nouveau gros match pour les coureurs des Giants. 116 yards et un TD pour Jacobs dont une course de 73 yards, son record en carrière. 103 pour Bradshaw avec un TD de 48 yards dedans…

La défense ? Globalement, ça va. 4 sacks sur Jackson, un Peterson limité à 26 yards en 14 tentatives… C’est se remettre dans le sens de la marche au bon moment, vu le gros test qui attend les Giants dimanche prochain, avec Vick et sa meute… Les Giants sont sur une série de 3 victoires, et en relativement bonne position dans la course à la Wild Card, avec leur record de 9-4.

Les Vikes, eux, n’ont plus à penser aux playoffs. Et Brett Favre peut bien mettre en vente sur son site internet perso (isentpicksofmydicktojenn.com) des ballons commémorant ‘The End of The Streak’, au prix imbattable de 499.99 dollars, ce qui devrait faire plaisir à Pierre Bellemare…


San Francisco 49ers :









































Et à la première passe incomplète, les huées en direction d'Alex Smith ont une nouvelle fois dégringolé des tristes tribunes de Candlestick Park.

Mais ça n'a pas duré. Un blowout de plus dans une journée qui en fut riche. En blowouts. Et dire que Seattle partageait avant le match de dimanche, et partage encore, la première place de la NFC West... Encore un match où l'on n'aura rien vu de la part de l'équipe de Pete Carroll, qui regrette peut-être USC à l'heure qu'il est. A part le retour de kickoff de Leon Washington pour 92 yards, quelque chose a-t-il fonctionné correctement pour les Hawks ? On se le demande.

San Francisco n'est tout de même pas une équipe terrifiante, que ce soit sur le papier ou sur le terrain...

Et même si Alex Smith a pour une fois rendu une fiche à peu près propre, avec trois TD pour aucune interception, et un joli pourcentage de passes complétées avec 17 sur 27 soit 63%.

Que retenir de ce match hormis la performance de Smith ? Que San Francisco n'est plus qu'à une victoire de la première place de la NFC Waste. Et compte tenu des difficultés des deux 'leaders' de la division, tout demeure possible, dans le fond, avec le Match pour l'Ouest de jeudi, contre les Chargers.

Sinon, le vieux Brian Westbrook a enregistré le plus long TD en réception de sa carrière, avec un catch de 62 yards, 87 yards en réception au total. Vernon Davis nous a fait le coup du grand retour lui aussi, avec un TD de 42 yards.

Contre la pauvre attaque des Seahawks, qui se retrouve une nouvelle fois privée d'un receveur après l'affreuse fracture de la jambe de Butler vers la fin du match, qui aura réussi à perdre 5 fois le ballon en six drives à un moment du match, la défense des Niners s'est montrée assez efficace, n'autorisant pas, pour 19ème fois de suite, un coureur à parcourir 100 yards. Une interception de Takeo Spikes, au passage.

Bref... Il n'y a pas eu de match... Et même Jeff Reed s'est montré efficace (ça lui réussit, la côte Ouest), en convertissant ses 4 field goals.



VERCHAIN'S PICKS FINAL

Bon, il y a des semaines à record, et d’autres moins. Cette semaine, on est moyen comme les Dolphins, mais c’est bon quand même…

Games of the Week : 3/3

Locks of the Week : 2/3 (Mon prono de Green Bay a une vilaine commotion)

Upsets of the Week : 1/2 (Jacksonville, Jacksonville, ne pas parier contre Jacksonville !!!)

Monday Nighter : 1/1 (et encore, pas passé loin…)

Thursday Nighter : 1/1

End of THE STREAK Game of the Week : 1/1 (Farewell, Brett. Jenn t’embrasse).

Other Games : 3/5 (Browns… Broncos… Sale semaine pour les équipes en ‘B’…).


La combinaison de ces différents éléments, toutes choses étant égales par ailleurs, nous amène donc à 12 bons pronostics sur 16 rencontres bien étalées sur le weekend et avant, et après… Un pourcentage tout beau de 75% !!!

En cumul, sur 208 rencontres pronostiquées par mes soins, 134 picks corrects. Oui, 64.4% de bons pronos en cumul (ce qui est toujours supérieur au pourcentage de bons pornos, mais c’est une autre histoire que je m’abstiendrai de commenter ici…).

134 picks corrects, mieux que Mike Ditka, Cris Carter et MeShawn Johnson du crew d’ESPN Sunday NFL Countdown. Moins bien que Tom Jackson, cependant (142). Ah, si seulement j’avais sélectionné les Jaguars de temps en temps…


NEXT WEEK ( ON TV) :

On commencera dès jeudi avec le match de l'Ouest. San Francisco à San Diego. Le perdant est éliminé des playoffs, surtout si c'est San Diego, d'ailleurs...

Dimanche à 19 heures, deux 'finales', deux gros matchs. Les Jaguars à Indianapolis pour l'AFC South (et une partie de l'article spécialement dédié à la gloire des Jags en cas de victoire, promis). Et les Eagles chez les Giants pour la NFC East, ou presque. Et cherry on the cake : Baltimore chez les Saints. Au milieu de tout ça, les Bills viendront à Miami. Et ça pourrait être affreux.

A 22h15 : Big Talk chez Big Hit : les Jets à Pittsburgh.

Sunday Nighter : Packers at Patriots. Victoire des Pats, et Green Bay peut quasiment dire adios los playoffos.

Et lundi, les Bears chez les Vikes. Match à enjeu, quoi qu'on en dise. Je ne sais pas où ça se jouera, tiens...

CHEERLEADERS















'TIL NEXT TIME, TAKE CARE OF YOURSELF... AND EACH OTHER...

Vous pouvez balancer les questions pour le Mailbag, qui sortira vendredi soir si tout va bien. D'ici là, sortez couverts, n'ouvrez à personne, et prenez bien soin du rock n' roll.

Envoyez vos questions sur le forum de FM.net, de NFLFrance. Com, ou à verchaininc@gmail.com


'Til next time, take care of yourself, and each other...


BONUS : OREGON's BCS CHAMPIONSHIP UNIFORMS.

Gosh... J'espère juste que les cheerleaders ne porteront pas des tenues inspirées de ça...





2 commentaires:

  1. Super article! J'espère que tu nous feras un petit prono sur les play-offs une fois que les équipes seront connues...

    Ah, et le lien des cheerleaders d'Oregon semble brisé. Too bad...

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  2. Merci. POur la photo, je vais corriger ça.

    Mais bon, c'était pas une photo de cheerleader, pour une fois...

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